C'est par le saule chenu que la nuit émerge,
Je peux voir au loin se dessiner le paysage,
Les vapeurs du pré sont glacées par le vol d'un corbeau,
Se déroule pareil à l'herbe ensevelie, le sentier sauvage,
Joue de ma détresse et de mes pensées graves
Dans les lueurs d'une lune descendante,
Incrustée de nos reliques ascendantes,
Pourtant, j'entends, presque bizarre, la douce cornemuse.
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Publié par Basile Nodier
Au fil des jours, être.
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