Le verbe aimer

Lune descendante

C'est par le saule chenu que la nuit émerge,
Je peux voir au loin se dessiner le paysage,
Les vapeurs du pré sont glacées par le vol d'un corbeau,
Se déroule pareil à l'herbe ensevelie, le sentier sauvage,
Joue de ma détresse et de mes pensées graves 
Dans les lueurs d'une lune descendante,
Incrustée de nos reliques ascendantes,
Pourtant, j'entends, presque bizarre, la douce cornemuse.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s