Si le temps lisse les âges,
Comme au crépuscule du voyage,
Il trace sur notre visage,
L’incontournable jeunesse.
Stances d'un verbe poétique et humour débridé
Poésie, romans, fragments de vie, humour
Si le temps lisse les âges,
Comme au crépuscule du voyage,
Il trace sur notre visage,
L’incontournable jeunesse.
Concis, « ramassé », même si peut-être que le dernier mot a trop de syllabes surtout après le long « incontournable »… (je crois que vous pouvez accepter ou non ce commentaire avant de le publier, alors ne le publiez pas !!! ; j’aurais juste voulu vous écrire cela en privé, mais je ne sais si cela est possible… voici mon courriel : georgesabertrand@hotmail.com) Je suis toujours franc (et, entre autres, critique littéraire ce qui explique que j’ai pris la liberté de vous écrire ainsi. Si vous voulez me répondre, surtout, vous ne publiez pas ce message… Amitié.
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Ce que vous exprimez ici ou en privé ne me gène absolument pas. J’accepte de vous toutes les remarques. Elles peuvent être utiles à d’autres que moi.
Je suis d’accord avec vous, quand même le mot « incontournable » joue avec la longueur et se voudrait briser paradoxalement les lignes du visage marqué par le temps. Sans doute ai-je été maladroit.
Encore merci !
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Votre « incontournable » est parfait ! C’est peut-être le mot suivant qui…
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Que pensez-vous de jeunesse ?
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Il est peut-être plus « commun », mais convient mieux dans sa simplicité.
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C’est fait. Je le préfère aussi. Merci pour votre échange.
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