Immersion et subversion, plus elles sont apparentes et plus elles sont annonciatrices d’un renversement total. Le chaos et l’ordre. Les instantanés et la médiocrité. Une poursuite, mais, aussi un abandon légitime. Ce sont certainement les derniers vestiges de la subversion, ou bien son apothéose ? Tant mieux ! La visibilité est un enchantement pour nos complexes abordements. Lobotomisation des cerveaux cancres. Fermeture de l’apprentissage. Bon ! on s’en tient là. La chute n’est plus très loin.
Stances d'un verbe poétique et humour débridé 
Nous n’avons pas terminé avec cette subversion. Je crains le pire.
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Très chère Béatrice. Je suis tout à fait d’accord. Il faut très peu de temps pour reconnaître la supercherie. Quelque chose qui va à son paroxysme. Je crains aussi le pire et le déferlement de la haine et de l’hostilité. Je crains le débordement de la méchanceté, pire de la mauvaiseté. C’est ainsi !
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Quelle subversion ? Voyez, le monde avec ses concentrations d’animaux enfermés, l’animal conçu comme viande, le bois comme combustible, la pierre comme matériau, tout cela sous l’angle du rendement, me semble une inversion, perversion du sens, forcément générant du désenchantement, et donc des révoltes, du nihilisme, si rien ne vient pour proposer une autre approche. Les belles œuvres, les prodiges ne suffiront peut-être pas. Les élites restent sur leur position écrasante.
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Tout est d’abord à l’intérieur de nous. Oui, nous sommes les bêtes. Sauver la terre ? La terre est une grande fille qui ne se laissera pas faire. Mais, bien sûr, si vous voyez la vie d’ici comme étant la seule, vous ne pouvez comprendre que nous sommes de passage et qu’un jour, la terre sera régénérée. Pour autre chose. Il y a d’autres plans de vie. Ici, nous devons oeuvrer jusqu’au bout, auprès des nôtres, en nous-mêmes, afin de réaliser notre plan terrestre.
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